La majorité des enfants tués dans un accident de la route ne sont pas soumis au système de rétention

Chaque fois que nous avons l’intention de ne pas placer le bébé ou l’enfant dans le dispositif de sécurité (parce que nous sommes proches, parce que nous sommes pressés ...), il nous faudrait réfléchir à ces chiffres pour écarter l’idée. Le ministère public de la sécurité routière a commandé une étude sur les accidents d’enfants dans laquelle un grand nombre de les enfants qui ne voyagent pas correctement soumis à un système de retenue.

Les travaux ont révélé des données qui mettent en évidence l'utilisation abusive de ce type d'appareils par la plupart des parents, l'une des erreurs les plus fréquentes mettant en danger les enfants en voiture. 46% des enfants n'avaient pas de système de rétention, 18% le portaient mais étaient mal placés et seulement 30% l’utilisaient et le faisaient correctement.

Les futures conclusions du projet mené par le bureau du procureur chargé de la sécurité routière viseront à formuler des propositions de réformes législatives visant à réduire le nombre de décès d'enfants par accident.

Changements dans la loi pour sauver la vie des enfants

Le projet devrait être achevé plus tard cette année et le Bureau du Procureur, qui travaille sur certains aspects en collaboration avec la DGT, présentera ses conclusions. propositions législatives définitif

À cet égard, les conducteurs, en majorité les parents eux-mêmes, victimes d'un accident de la route avec de jeunes enfants mal protégés, tués ou gravement blessés, ont été pris pour cibles.

Ils proposent ainsi que s’il est possible de démontrer que le manque de protection du mineur est la cause de blessures plus graves ou de son décès, le conducteur verra une augmentation de la peine qui sera demandée dans une procédure judiciaire.

En outre, ils entendent promouvoir d'autres mesures telles que le renvoi au procureur des mineurs pour étudier l'affaire et, si le mineur a besoin d'une forme de protection, lorsque l'automobiliste se voit imposer une amende pour la troisième fois en prenant des enfants sans siège ni ceinture de sécurité. Cela ajouterait 200 euros et une perte de trois points pour chaque pénalité.

De même, l'interdiction sera demandée afin que les enfants de moins de 14 ans ne puissent utiliser aucun moyen de transport en commun (taxis ou autobus) sans le système de rétention correspondant. De cette manière, nous souhaitons supprimer l'exemption des chauffeurs de taxi, de sorte qu'ils soient obligés d'utiliser des dispositifs de retenue pour enfants de manière obligatoire.

Les accidents mortels auraient pu être réduits de 51% si les enfants avaient été correctement protégés. Les enfants sont écrasés par les autres occupants du véhicule, qui souvent les tenaient sur leurs genoux ou renvoyés à l'extérieur de la cabine passagers.